Paul et Raydo, pour fêter le départ à la retraite de leur ami Olivier, ont choisi le restaurant étoilé d’AlainLLORCA. Merveilleusement situé à la Colle-sur-Loup, face au ravissant village de Saint-Paul-de-Vence, l’endroit est propice au calme, à la détente et la dégustation gastronomique préparée par le Chef Alain LLORCA.
Il est vrai que le Chef a un passé élogieux semé d’étoiles. Il suffit de consulter un résumé de son parcours.
Si nous devions résumé Alain LLORCA en une phrase : C’est un passionné de cuisine, enthousiaste et rigoureux pour créer l’alchimie d’une cuisine généreuse d’inspiration méditerranéenne. Voici les offres de découvertes gastronomiques :
Menu du Marché à Midi Choix parmi
La Collection Alain LLORCA Choix parmi
La Carte Choix parmi
2 Entrées
5 plats
3 entrées de 68 € à 90 €
2 Plats
2 desserts
4 plats de 85 € à 155 €
2 Desserts
5 services 160 €
2 Desserts à 30 €
3 Plats 79 €
9 services 230 €
4 Plats 110 €
Fromage 30 €
Fromage 30 €
Fromage 30 €
Hors Boissons
Hors Boissons
Hors Boissons
Quelques plats du menu du marché
Quelques desserts du menu du marché
Pour presque tout savoir
Hôtel Restaurant AlainLLORCA à Saint-Paul-de-Vence 350 Rte de Saint-Paul, 06480 La Colle-sur-Loup 04 93 32 02 93 Alain LLORCA, c’est aussi un hôtel **** qui n’a pas son pareil avec 6 chambres Deluxe, 3 Suites Junior et une Suite Prestige. C’est aussi des soirées d’exception.
En conclusion
Un très bel endroit afin de passer un moment très agréable avec un chef sympathique, passionné et généreux. Un personnel dévoué et à la hauteur des espérances des clients. Il faut mettre cette adresse dans son carnet et y penser de temps à autre.
Raydo, Shana, Olivier, le Chef Alain LLorca, Brigitte, Paul Juillet 2023
Paul et Raydo Obadia Juillet 2023 Photo Pro (Paul et Raydo Obadia)
Nous avions écrit un article sur MON PETIT CAFÉ, mais la crise sanitaire de la covid a été une source de réflexion pour la famille GEILLE. Il en est résulté un changement et une création. Nous avons donc mis notre blog à jour avec ces informations. MON PETIT CAFÉ est devenu LE BISTROT MARIN, le BAR MARIN a ouvert ses portes. C’est ainsi que la rue Grimaldi à Nice est le repaire des bistrots bretons. En effet, nous devons y associer l’incontournable SÉJOUR CAFÉ que nous avions relaté sur notre blog (pour relire, cliquez ICI).
LeBar Marin
Depuis le 16 décembre 2021, le bar marin est l’un des trois bistrots bretons et propose une splendide carte de coquillages à base de crustacés et poissons. Une belle adresse pour déguster d’octobre à mai, des coquillages en direct de Bretagne et notamment L’Ostra Regal, une huître super spéciale avec un taux de chair remarquable pouvant atteindre 18 % du coquillage.
Mais le plus est constitué par l’installation de viviers pour les approvisionnements en homards bretons et en langoustes. Ainsi le Bistrot Marin, comme le Séjour Café traversent la rue pour « pêcher » au Bar Marin.
Bistrot Marin
Ce n’est donc pas une création, mais une transformation, au début janvier 2022, de Mon Petit Café. Toutefois, les valeurs fondamentales demeurent. Un décor comme à la maison, le sens de l’hospitalité, le culte de la gastronomie, les beaux et bons produits de terroir, l’accueil, la famille et les amis.
Côté cuisine, une formule qui varie au gré du marché.
En plus d’une carte courte, mais riche en saveurs, la formule change en fonction des produits du marché. Le choix entre 6 entrées 6 plats et 8 desserts est complété par l’ardoise :
Mais pour les amateurs des produits de la terre, ils seront comblés, car le chef Gary Mesguich a pensé à eux. Son parcours, il l’a façonné dans des établissements célèbres comme Les Dents de la Mer ou La petite Maison lui confère une solide expérience.
Actuellement indisponible, c’est la cheffe Soukaina qui est aux fourneaux avec brio. Le plat signature de cet établissement : les linguine au homard breton, un régal.
C’est donc toute une famille qui régit ces trois établissements
Cette famille possède de nombreux points communs : • Ils ont tous commencé une carrière avant de devenir restaurateurs. • la première lettre de leurs prénoms (un M pour la branche féminine et un R pour la masculine).
L’ADN DE LA MER
Dans la famille Geille, demandez le grand-père, la grand-mère, le père, la mère, le fils, la fille.
Comme à notre habitude, nous allons vous raconter une histoire. Cette fois-ci, il s’agit de celle de la famille Geille Le fils, Robin a accompli toute sa scolarité à Nice et a poursuivi ses études à ESRA (École axée sur l’audiovisuel). Son cursus achevé, il part au Luxembourg dans le secteur de l’animation 3D. Une occasion le rappelle à Nice, voici six ans, pour créer un restaurant : Mon Petit Café rue Grimaldi, puis maintenant Le Bistrot Marin. Il est vrai que toute sa jeunesse, il a baigné dans les établissements de ses parents.Tous les midis, je déjeunais au restaurant, je me suis même initié à la cuisine et la plonge.
La fille, Marina, nous avons déjà évoqué son parcours dans notre article sur le Séjour Café, elle est diplômée en communication et commence une carrière à Paris. Mais l’appel de Nice et de la restauration est plus fort que tout et c’est sans hésiter qu’elle répond positivement au projet de création d’un restaurant à Nice avec ses parents.
La mère, Marilène, d’origine vénitienne, réussit très bien une carrière de responsable des relations publiques dans une célèbre marque de champagne, pour ensuite développer avec son mari toute une activité dans la restauration. Elle adore ses clients et le contact passe très facilement.
Le père, Renaud, ses racines bretonnes sont toujours en lui. Nous comprenons mieux, pourquoi après avoir parcouru l’Afrique en tant que directeur chez Unilever et consultant pour PME, il revient à ses premières amours et honore la mer en ouvrant des restaurants. Tout d’abord dans sa région natale, le Bistrot du Port à Quiberon, puis à Menton et à Nice pour créer : les Viviers. En 2006, il met un terme à sa carrière, mais il n’est jamais loin des trois bistrots.
La mer est le lien qui unit cette famille et le grand-père paternel breton n’y échappe pas. Très bon pêcheur de bar, Marina et Robin se souviennent de sa grand-mère qui disait : « Mais Norbert, des bars de 6kgs j’en ai déjà plein le congélateur ». Et pour varier les menus, les petits enfants allaient pêcher les crevettes pour les déguster avec les légumes du jardin de la mamie.
Du côté de la branche maternelle, c’est l’Italie et plus particulièrement Venise avec Maria, la Mamma qui a bercé l’enfance de sa fille et de ses petits-enfants. Elle a inculqué le sens de la famille joyeuse et la transmission du bon goût des risottos, des ragoûts et autres spécialités. Le plaisir de l’accueil restera une valeur fondamentale.
Les affiliations et distinctions
• Maîtres Restaurateurs qui sont une reconnaissance de la qualité et du respect de certaines règles de base pour la satisfaction du consommateur • Une assiette au guide Michelin • Collège Culinaire de France qui est une reconnaissance des pairs fondateurs de cette association qui a pour but de fédérer tous celles et ceux qui partagent les mêmes valeurs et les mêmes pratiques du métier d’artisan restaurateur. • Tables auberges de France : une communauté de professionnels, partageant le même Métier-Passion et la même culture de l’indépendance !
En conclusion :
Des bistrots à taille humaine, chaleureux, accueillants, avec une excellente cuisine du marché et des produits frais, fréquentés par une clientèle locale et par des touristes qui viennent et reviennent.
Stéphane CHENNEVEAU, tel est le nom de ce chef qui a créé à Nice un atelier de restauration imaginatif où on a le loisir de déguster des vins d’exception. Nous avons été séduits par sa prestation et son itinéraire. Il est seul dans sa cuisine et mène à la baguette tous les instruments qui l’environnent. Il aime à se présenter comme artisan cuisinier.
Un parcours semé d’étoiles
Apprentissage dans sa Vendée natale puis, commis dans deux étoilés, à Tours au relais château Le domaine de Hautes Roches, ensuite au Domaine de Haut de lois. Il entame sa route vers le sud à Lyon dans un établissement deux-étoiles au Michelin où il rencontre Jacques Maximin consultant en cuisine. C’est ainsi qu’il découvre la cuisine du sud : huile d’olive, parmesan, risotto, pistou. Après une année chez Régis Marcon, c’est le Louis XV à Monaco.
Il a presque atteint son objectif : bouger pour voir des cuisines et comprendre l’univers des chefs. Nous sommes en 1998 et le futur chef parfait sa connaissance par des expériences dans des Palaces : Hôtel de Paris, L’Hermitage à Monaco. Un accident de la route l’oblige à un repos forcé de 3 ans. Il refait surface à Monaco au Quai des Artistes comme simple extra et au bout d’un an et demi il devient le chef. Il se perfectionne dans une facette indispensable du métier qu’il ignorait : les achats, les ratios, car jusqu’à présent, c’était plutôt de la gastronomie qui consiste à travailler le produit, les cuissons, les assaisonnements. Une dernière expérience au Beefbar à Monaco pour réaliser son rêve :« Être chez moi ».
L’atelier : Restaurant à vins
Ilest un passionné de cuisine et de vins. En février 2010, il crée cet établissement et innove comme précurseur, en effet, les cuisines ouvertes, ce n’était pas commun à l’époque. Pourquoi le terme d’atelier ? Il souhaitait que les clients soient comme dans un garage ou l’on voit les personnes travailler et l’on aperçoit les outils. En ce qui concerne le vin, cela n’a pas était immédiat, il voulait se différencier des bars à vins, qui servent des accompagnements peu qualitatifs et donc décide de faire un véritable mariage entre la vraie bonne cuisine et le bon vin.
La carte change au gré de l’inspiration du chef.
Stéphane décide tout seul de sa carte, pas de règle de changement, il conserve ce que les clients aiment bien manger : le saint-pierre ou la pièce du boucher. Selon son humeur ou des saisons, il adapte la carte. Il adore la pâtisserie et donc dans ce restaurant tout est fait maison, du petit pain au thym au brownie du café. Le choix de la carte est suffisant pour trouver son bonheur et c’est très bon.
Le chef adore le bon vin et la carte de 37 pages propose pas moins de 500 références de son choix. Chacun pourra trouver son bonheur. Toutes les régions de France sont présentes ainsi que quelques vins du monde.
Ses coups de cœur : Parmi les fiefs Vendéens : la Grande Pièce de Thierry Michon comme un clin d’œil à sa région. Le Beaujolais, Morgon, Brouilly, Régnier, Juliénas. Très honoré d’avoir le Côte du Rhône Château Rayas. Le prix des vins s’échelonne de 25€ à 300€. En salle, pour les conseils, vous pourrez compter sur la science de FLEUR.
Une belle histoire d’amour
STÉPHANE et FLEUR
FLEUR est arrivée il y a 3 ans dans la vie de Stéphane. Elle était responsable d’une agence d’intérim dans la santé et elle venait de temps à autre à l’atelier, mais ne l’avait jamais remarqué. Pourtant, des amis communs avaient prédit qu’ils se rencontreraient ! Un jour Stéphane pris son courage à deux mains et décida de l’inviter au restaurant à 15 heures ! ce n’était pas l’ heure habituelle de Fleur, mais elle accepta ! Il lui fit découvrir sa socca, le cépage gamay et la passion de son métier. Elle a été séduite par son charisme, son professionnalisme et sa gentillesse, lui a sombré sous le charme de son regard, de sa beauté et de sa jovialité. La serveuse partie, elle est venue l’aider. C’était tout nouveau et elle était tétanisée. En effet, Stéphane lui demandait d’envoyer, et d’activer le service, mais ce fut très dur le premier mois. Il lui a appris à aimer et reconnaître les vins, « c’est mon meilleur prof » dit-elle. Depuis elle est devenue une experte dans la connaissance des vins.
Les reconnaissances et les réseaux sociaux
Stéphane n’est pas fanatique des associations. Il est membre du Collège Culinaire de France, cependant, il reconnaît qu’une assiette au Michelin en 2016 a permis d’augmenter le chiffre d’affaires de 40 % cette année-là. Même si cet établissement est présent dans les réseaux sociaux classiques et possède un site internet, il n’est pas un mordu de la mise en ligne des informations. Les réservations se font de plus en plus par le biais d’internet, ce qui supprime tout dialogue préalable. Ne demandez pas le code Wifi, l’établissement en possède, mais ne le divulgue pas, ici on préfère que votre attention soit captée par la dégustation.
Le chef aime
Son plat favori, c’est le pot-au-feu, mais également la blanquette en fait partie. Le tout accompagné d’un vin de ses cépages de prédilection la Syrah et le Gamay. Quand il va au restaurant, il nous dit : « Je choisis mes restaurants plus par rapport à la carte des vins, car j’ai remarqué qu’en général, dans les établissements qui ont une belle carte des vins, on y mange bien.« Voici la liste des restaurants qu’il fréquente volontiers : Le Café de la Fontaine : 4 Avenue du Général de Gaulle, 06320 La Turbie Le Goupil : 21 Rue Barla, 06300 Nice, lire notre article sur notre blog Le Séjour Café : 11 Rue Grimaldi, 06000 Nice, lire notre article sur notre blog le Bistrot-Quai : Port de Saint-Laurent-du-Var, 06700 Saint-Laurent-du-Var Flaveur : 25 Rue Gubernatis, 06000 Nice La Table de la Réserve : 5 Boulevard du Maréchal Leclerc, 06310 Beaulieu-sur-Mer