Saint Valentin ! avant de vous donner quelques pistes pour surprendre l’être aimé nous avons posé la question comment est-il devenu le symbole de la fête des amoureux. L’histoire est assez romantique.
Au IIIe siècle, Valentin de Terni, un moine réfractaire, mariait les jeunes amoureux malgré les dictats de l’empereur Claude II le Gothique. En effet, l’empereur avait interdit le mariage pour que tous les jeunes hommes non mariés partent à la guerre. Le moine contrevenant fut mis en prison. Des relations amoureuses s’établissent avec une jeune aveugle, Julia, la fille du geôlier. Un miracle se produisit, Julia retrouva la vue. L’empereur agacé ordonna l’exécution de Valentin le 14 février. Julia se convertit au catholicisme et planta un amandier, qui devint l’arbre des amoureux.

Au XIVe siècle dans la Grande-Bretagne encore catholique, célébrait Saint-Valentin le 14 février comme une fête des amoureux. On pensait que les oiseaux choisissaient ce jour pour s’accoupler.
Fin XVe siècle, le pape Alexandre VI confère à Saint Valentin le titre de « patron des amoureux », en 1496.
Au XXe siècle, Saint Valentin a été rayée du calendrier liturgique romain en 1969 par le pape Paul VI, mais a été conservée dans les calendriers régionaux comme une fête laïque, célébrée mondialement par tous ceux qui s’aiment.
Au XXIe siècle, en 2021, pendant la crise sanitaire, plus question d’inviter l’être aimé au restaurant en amoureux. Deux solutions : soit vos talents culinaires vous permettent de surprendre celle ou celui que vous chérissait, soit vous faites appel à un chef et vous commandez le repas de la Saint Valentin du 14 février 2021.
Nous n’avons pas testé les propositions, notre but : vous informer sur quelques différentes possibilités en fournissant les menus, les prix et renseignements pratiques.
Tableau comparatif










L’Âne Rouge
Institution célèbre sur le port de Nice. Le chef capitaine c’est Michel Devillers, Maître Restaurateur, dont le souci permanent est la qualité des bons produits. Une adresse à retenir dans le monde de la gastronomie . 7-1 Quai des Deux Emmanuels, 06300 Nice web 04.93.89.49.63 anerouge@free.fr





L’Atelier
Le Chef, Stéphane Chenneveau, originaire de Vendée est un restaurateur inventif qui relève les défis de la vie et qui est passionné par son métier. L’atelier porte bien son nom, il permet à Stéphane de faire place à son obsession créatrice. Nous avons eu le plaisir d’écrire un article à ce sujet. Cliquer ICI. 17 rue Gioffredo Nice web 04.93.85.40.74

La Belle Étoile
Manuel Dupont, le chef Maître restaurateur, aime la gastronomie française et lui donne un accent méditerranéen. Manuel a un style de cuisine simple et bonne avec les produits locaux et de saison, notamment pour le poisson fourni par les pêcheurs de Villefranche. Nombreux plats sans gluten. Nous avons eu le plaisir d’écrire un article à ce sujet. Cliquer ICI 04.97.08.09.41web labelleetoilevillefranche@gmail.com

Le Figuier de Saint Esprit
Double étoilé, le chef Christian Morisset est un perfectionniste bien connu dans l’univers de la gastronomie. Trois mots caractérisent bien ce pilier du monde culinaire : Authenticité, tradition et expérience. Dans cet établissement, qualité rime avec goût. 14 Rue Saint-Esprit 06600 Antibes web 04 93 34 50 12 lefiguier@christianmorisset.fr


Le Panier
Le chef, Aurélien Martin appartient à une lignée de cuisiniers. À deux pas du cours Saleya à Nice, la cuisine du marché règne dans cet établissement. C’est le domaine de la recherche approfondie du goût et du visuel dans ses assiettes. 5 Rue Barillerie 06300 Nice web 04.89.97.14.37

Les Agitateurs
Tout nouvellement étoilés, les Agitateurs bougent et poursuivent leur chemin vers l’inventivité du mélange subtil et inattendu des saveurs. Après leur réussite dans leur restaurant, ils viennent de créer le Garde-Manger, une épicerie fine avec plats à emporter, qui connaît déjà un succès grandissant. Nous avons eu le plaisir d’écrire un article à ce sujet. Cliquer ICI. Le Garde-Manger 34 rue Bonaparte 06300 Nice web 09.82.20.93.21 legardemangerdesagitateurs@gmail.com

L’Influence
L’influence près du port de Nice, le maître à bord c’est Aurèle Gasperoni un jeune passionné de cuisine formé à l’institut Paul Bocuse. Le classique est revisité avec les produits du terroir sélectionnés sur le marché. Imagination est au service de l’assiette. 31 rue Bonaparte 06300 Nice web 04.82.57.39.66

Olive et Artichaut – Z Restaurant Tapas
Les chefs Thomas HUBERT d’Olive et Artichaut, Gaël PASSIGLI de Z, Luc SALSEDO de Socca chips et Chiara BIANCHI de la Toque du Midi se sont regroupés pour concocter le menu de la Saint-Valentin. Une association bienvenue pour réaliser un menu Saint-Valentin pour deux, tout compris.
Olive et Artichaut 6 Rue Sainte Réparate 06000 Vieux Nice web 04.89.97.51 commande@oliveartichaud.com
Z Restaurant Tapas, Food & Share 2 rue Meyerbeer 06000 Nice web 04.89.22.35.53 contact@zrestauranttaps.com

Restaurant Dante Chez « Gratta »
Dans cet établissement est caractérisé par deux prénoms Vanessa et Thierry. Lui, Thierry Grattarola après avoir bourlingué sur les mers et diverses expériences il se fixe à Nice pour travailler des produits locaux de qualité, qu’il achète en direct. Vanessa, elle, c’est la douceur, spécialiste autodidacte de la pâtisserie. Tous deux sont passionnés par le produit. 5, rue Dante 06000 Nice 04.93.44.03.58 web chezgratta@oulook.fr

acomme.blog/2021/02/05/saint-valentin-en-2021/#tableau(ouvre un nouvel onglet)
Nous espérons que ces quelques adresses vous aideront à trouver votre bonheur. Même si vous célébrez Saint Valentin 365 jours par an, le 14 février c’est un jour plus particulier pour ranimer la flamme qui met en lumière l’être aimé.
Paul et Raydo Obadia février 2021 ![]()
Si ce n’est pas déjà fait, merci de confirmer votre abonnement à titre gracieux: https://app.mailjet.com/widget/iframe/3pMU/bQu























Comme tout le monde, nous savions que nous avions un cyclotron à Nice, mais nous n’avons jamais approfondi le sujet. Pour en savoir un peu plus, rendez-vous est pris avec le professeur Jean Pierre GÉRARD, directeur honoraire du centre Antoine Lacassagne, consultant en radiothérapie.
être précisément dirigé vers sa cible grâce à des lentilles magnétiques. Ils déposent ainsi la totalité de leur énergie à une profondeur déterminée, en l’occurrence au niveau de la tumeur. Technique utilisée particulièrement pour des cancers localisés dans l’œil où la chirurgie est difficile et mutilante. Le patient après de nombreux repérages porte un masque de protection et est installé sur le fauteuil de traitement.





En Italie à PIACENZA, le tout jeune Alfred MALACARNE, fait partie du voyage vers la France, car son père maçon, est obligé de quitter le pays après avoir séduit une fille d’une noble lignée. En ce temps-là, on ne badinait pas avec la mixité sociale. Le voilà donc expatrié à Nice Au moment d »entrer dans la vie active, il devient, ce qu’on nomme en niçois, un « BOCHA », c’est-à-dire un apprenti maçon. Pendant ses loisirs, Il pratiquait la lutte gréco-romaine à un haut niveau. En tant que sportif, il avait créé en 1904, avec son frère Charles et une bande de copains, l’OGCN, plus communément appelé le GYM, Robert nous montre un porte-clefs en or, cadeau du club pour la commémoration des cinquante ans.

Monsieur Martinez, estimant cet établissement peu rentable décide de céder la plage. En 1923, Alfred se porte acquéreur, mais le prix à payer est de 20 000 francs de l’époque. Sa femme, Carmen vend son bistrot « La Cave Niçoise », 5 rue Masséna, pour devenir propriétaire. C’est la période de la transformation de la promenade et de la structure de la plage. Mais la guerre met fin à cette belle aventure, les allemands réquisitionnent, son fils, Alphonse, négocie 48 heures pour tout débarrasser. Celle-ci devient un dépôt de munitions que les occupants font sauter lors de leur départ.
Après la guerre, la relève est assurée par le fils Alphonse qui achète les Bains de la Plage pour le franc symbolique, puis l’aquarium. Pendant la construction de la Promenade des Anglais, Monsieur Malacarne exerce son métier au Beau Rivage. Mais à la fin des travaux, il opte pour le Ruhl. C’est l’époque où la famille MALACARNE gère en permanence au moins 2 plages. Dans les années 50-55, Alphonse qui exerce le métier de constructeur se porte acquéreur de l’Hôtel
Robert, à son retour du service militaire, dans les années 75, rejoint son père et Claudine, sa sœur qui n’a jamais quitté la plage. Avec le père, ils forment un trio exigeant pour la satisfaction de la clientèle. Alphonse, arrive toujours le premier sur la plage, il a l’œil et rien ne lui échappe du haut de son fauteuil. Mais comment s’affirmer, alors que le père est omniprésent. Un matin, Robert décide d’arriver avant son père et continuera ainsi, jusqu’au moment où son père accepte l’idée que la relève est assurée. Aujourd’hui, Robert et Claudine sont bien conscients, qu’ils ne sont pas propriétaires, puisque, depuis la loi sapin, ils doivent satisfaire les exigences de la DSP tous les 15 ans. La prochaine aura lieu en 2019 et Les MALACARNE, avec leur relève, espèrent fêter les 100 ans du RUHL-PLAGE en 2020.

Pendant la guerre, la plage était ouverte au public jusqu’en novembre 1943 et un jour la milice est arrivée de façon inopinée pour réaliser un contrôle. Madame Cohen avait pour habitude de vendre des lunettes et pour les exposer, les mettait sur ses bras tout en déambulant sur les galets. Pour elle, la milice, c’était le désastre. Elle ne savait que faire et était terrifiée et transpirait à grosses gouttes. Alphonse, le père de Robert, n’écoutant que sa fibre patriote, il lui enleva toutes les lunettes, la prit par le bras et sortirent tous les deux devant le regard inquisiteur des miliciens. C’est alors qu’Alphonse eut cette réplique salvatrice : hé bien messieurs, vous avez fait peur à ma femme, vous voyez dans quel état vous l’avez mise! . Longtemps après, Madame Cohen a souvent raconté cette histoire à Robert et Claudine avec une compassion qui se lisait dans ses yeux.
Les MALACARNE sont intarissables. Ils ont toujours, comme principe, le respect du client avec un service irréprochable, le tout teinté d’une attention toute particulière pour ceux qui choisissent leur plage. C’est leur recette, depuis presque un SIÈCLE !
















Nous avons appris un mot : le maître-bau qui correspond à la plus grande largeur d’un navire. Il dérive du mot bau qui signifiait barrot, soit une pièce de structure transversale servant à raidir le bordé aligné sur chaque membrure et soutenant le pont, en s’étendant de part et d’autre du navire pour le ponant le maître-bau est de 11.9 m.

